Deux hommes au moins de notre village ont dû supporter, pendant des années, la dure vie des camps de prisonniers, sans que leur famille sache toujours ce qu’ils étaient devenus, s’ils étaient morts, considérés comme « disparus ».
Nous avons tenté de retracer le parcours de ces soldats, qui ne verront la fin de la guerre que pour mourir dans des hôpitaux à l’étranger, loin de la France et de leur village.